Pour commence cette nouvelle d’écriture dans mon journal d’une nudiste en espérant que vous avez tous bien commencé la nouvelle année. Kwign et moi avons beaucoup prévu pour la nouvelle année naturiste qui commence. Cette année, j’ai décidé de passer mes vacances nudistes sur la côte est, dans la province de Syracuse au mêmes endroits où nous avions été avec Leriva notre employé de maison, nous avions décidé de lui offrir ce petit plus en remerciement de son travail au cours de l’année. En fait, j’ai tellement aimé ce séjour en Sicile ou j’ai visité tellement de beaux endroits que j’ai décidé d’y retourner. Si je me souviens bien, il existe de nombreuses possibilités pour nous les nudistes en Sicile. Comme vous le savez, J’aime le naturisme et j’essaie de trouver des endroits isolés où je peux être nu tout le temps et passer des moments de libertinages j’en suis sûre. Je n’aime pas les endroits bondés et bruyants. Au contraire, j’aime les endroits sauvages, difficiles d’accès et où l’on peut rester en contact avec la nature et écouter ses sons et ses odeurs, mais toi ?
Je me souviens de cette petite aventure que j’ai vécue et qui illustre bien mon libertinage Leriva, mon employé sait maintenant que je suis libertine mais pas toutes mes amies. Vous allez bientôt comprendre pourquoi. Par le plus grand des hasards nous avions rencontré une amie d’enfance qui passait ses vacances ici, et nous étions invités à une fête qu’elle donnait pour l’anniversaire de son mari qui était en mission à l’étranger à ce moment lui laissait carte blanche pour s’amuser si le cœur lui en disait. Et j’avais été surprise qu’elles nous disent en s’éloignant “N’oubliez pas de prendre des capotes avec vous !
La soirée fut très sympa. Nous fîmes de nouvelles rencontres mais notre goût, même si nos intentions n’étaient pas de chasser, nous avions remarqué la belle Lan. Au moment où elle se décide de partir, Kwign et moi lui proposons de la raccompagner. Jusqu’à son “lieu de villégiature”, nous rentrons ensemble en partageant le taxi, pour la taquiner, je lui propose de monter prendre un dernier verre dans notre “coming-out libertin”, Après tout, elle est quand même mignonne cette asiatique, et je me sentais soudainement d’humeur joueuse. La sentant hésiter, je lui pinçai alors son téton qui pointait sous sa robe moulante en riant, et lui dis simplement : “je sais, que je ne suis pas ton genre, mais regarde en lui montrant la grosseur qui se montre à l’entre jambe de Kwign. Alors que nous montons jusqu’à notre appartement, Lan me demande si elle peut prendre une douche pour se rafraichir, pas de soucis luis dis-je en sonnant à l’interphone, c’était moi dis-je a Leriva. Nous arrivons avec une invitée pour un dernier verre.
Leriva nous ouvre la porte, en nous accueillant nue comme un ver, la sentant hésiter, je lui pince alors sa fesse. Elle entre, et à peine ai-je eu le temps de franchir la porte, que je la vois retirer sa robe, nous laissant distinguer son corps nu venir doucement se blottir contre celui de notre employé, son souffle chaud dans son cou, en lui murmurant : “Tu es bien ainsi ?”, elle lui répondit simplement : “Oui c’est ma tenue de travail…” Je sentais déjà un début d’érection de mon Kwign contre mes fesses. Elle commence à l’embrasser doucement dans le cou, et partir à la rencontre de ces lèvres. Elles s’embrassent langoureusement pendant que ses mains remontent sur la voluptueuse poitrine de Lériva toujours avec sa serviette a la main. D’une main, elle jouait avec son téton pendant que l’autre descend doucement entre ses cuisses… qu’elle écarte légèrement. Il caresse son mont de Vénus et dans un souffle, je l’entends lui dire : ”Oui…”. Elle glisse alors un doigt entre ses lèvres humides, les frôles doucement comme pour leur demander leur approbation, puis s’introduit lentement en elle. Son long doigt glisse sans difficulté au plus profond de son intimité. Elle se cambre pour l’encourager à la doigter davantage, elle ne se fait pas prier pour la limer de plus en plus rapidement, Leriva gémit sous ses coups de désir. Elle se retourne pour lui faire face, à mon je sentis une bosse bien dure caresser mes fesses. Je me retourne en débouclant sa ceinture, pendant que Kwign retire son tee-shirt. Il se retrouve lui aussi nu avec une belle érection. Je le prends par la main et l’emmène derrière Leriva en l’invitant à s’asseoir sur le canapé, et installe Lan à califourchon au-dessus de sa queue en appuyant sur ses épaules la forçant à s’empaler sur cette dernière. Elle semble avoir envie de prendre son temps pour bien la sentir en elle. Je la caresse, ses seins me font monter le désir en moi! J’ai envie de passer aux choses sérieuses. Je descends alors pour m’agenouiller devant elle, en écartant mes fesses tout en regardant la fente ouverte de Lériva qui se trémousse, d’amour devant ma langue qui glisse le long de ses lèvres, et commence à le branler en introduisant ma langue dans son sexe baveux. Je lèche sa vulve puis glisse petit à petit vers son petit fion. Je l’entends gémir de bonheur. Cela m’excite et je le suce de plus belle. De son côté Lan posa ses mains sur mes fesses et par des petits mouvements leurs assignes quelques claques bien excitantes je dois dire. Elle écarte mes fesses et commence à embrasser doucement mon fion, elle descend progressivement et s’approche inéluctablement de mes lèvres humides. Elle enfouit alors sa langue entre mes lèvres et me lèche comme j’aime. Des ondes de plaisir parcourent mon corps, c’était si bon.
“Prends-moi…” elle ne se le fit pas dire deux fois. Toujours empalée sur la bite de mon Kwign, elle attrapa un des gods que j’avais préparées sur la table basse, et le présente sur ma vulve, elle bascule mon bassin, en introduisant son gland en plastique entre mes lèvres lubrifiées et s’introduit progressivement. J’adore cette première pénétration avec lenteur, je savoure chaque millimètre qui entre en moi. Elle bute au fond de moi et nous gémîmes de plaisir. Je me sentais comblée au sens littéral comme au sens figuré. Après quelques va-et-vient très langoureux, je jouis trop tôt à mon goût. C’était Lan qui me faisais cet effet !). Mais à ma grande et agréable surprise, elle le remit aussitôt dans mon petit trou sans ménagement. Joueuse, je me positionne à quatre pattes pour lui présenter ma croupe que je caresse j’écarte mes lèvres gonflées pour l’inviter à s’introduire à nouveau. “Hummmm qu’elle beau cul… Comment refuser une telle invitation…” s’écrie Lan en se retirant de sur mon Kwign. Ce cul de mature devait lui faire de l’effet puisque cette fois-ci, elle me pénètre d’un coup sec mon fion, je suis tellement lubrifiée que sa bite en plastique s’engouffre sans difficulté dans toute sa longueur dans mon trou dilaté par ce gros mandrin de plastique. Son autre main agrippe fermement mes tétons durcis par, l’excitation, je gémis de plus belle, et accélérait le rythme à chaque coup de butoir. Je me cambrais en arrière pour mieux l’engloutir. Je ne tarde pas à jouir une deuxième fois, et m’allonge pour reprendre mon souffle. Lan s’allonge près de moi et la laisse récupérer mais je n’en avais pas fini avec elle ! Lorsque son souffle reprit un rythme normal, je lui dis : “Maintenant on s’occupe de toi, j’aimerais te lécher ton clito comme tu sais si bien le faire…”
Elle vient alors sur moi et commence à m’embrasser sur la bouche… puis dans le cou… puis descendit vers mes seins… mon ventre… mon bas-ventre… mes cuisses… Elle me fait de légers baisers sur mes lèvres et sur l’intérieur de mes cuisses. J’attrape un oreiller pour le caler sous mon bassin, il m’est ainsi plus facile de lui lécher sa chatte. Doucement, mes baisers deviennent de plus en plus humides, je lui donne de grands coups de langue sur toute la hauteur de ses lèvres, et alternait avec des succions autour du clito, ce qui a le don de la faire gémir davantage. Elle se laisse aller un bon moment sous mes délicieuses caresses, et son excitation était certainement contagieuse puisque je vois le sexe de mon homme lui aussi retrouver de la vigueur. Ça serait dommage de gâcher ! je fais signe et murmure à Leriva étendue sur le dos, les fesses sur la moquette, écartant ses lèvres de ses doigts : “Va.” Leriva se lève, et s’empare d’une capote et l’enfile rapidement sur sa queue, et vient s’assoir sur cette dernière qui la pénètre doucement cette fois-ci. Joueuse, je la voyais se contracter son périnée. “Arrête, s’exclame-t-il, ça m’excite, tu vas me faire partir trop vite.” Après quelques allers-retours, il jouit au fond de son orifice. Après ce nouvel assaut, la fatigue se faisant ressentir il vient me taper sur mon postérieur en s’exclamant, tu finis de la lécher et au lit je suis usé, tu auras toute la journée de demain pour jouer de nouveau avec sa chatte. Sur ce, je demande à Leriva de conduire Lan dans la chambre inoccupée en l’embrassant et en claquant les fesses de Leriva.
La suite bientôt 💋 Amann
La suite dans mon livre 💋 Amann
