Après une journée de séance photo avec Marguerite, Kwign m’annonce avoir trouver sur un réseau social libertin, un couple dont le profil recelait de très belles photos. Pascal, photographe amateur lui aussi, il réalisait de magnifiques clichés de sa douce et belle Pascale. Comme convenue, j’ai fait la connaissance de ce couple virtuellement pendant que tu travaillais avec Marguerite. Nous avons échangé sur le libertinage, et également à propos de leurs passions, elles sont communes a nous : Le naturisme, le libertinage et bien évidemment la photo. Après ce très bon feeling virtuel, nous avons convenus d’un rendez-vous pour un shooting photo « entre toi et Pascale », persuadés que notre duo ferait des merveilles sur la pellicule. N’habitant pas très loin l’un de l’autre, ils nous avaient invités chez eux. Nous arrivâmes comme convenue le samedi suivant en début d’après-midi. Pascale était encore plus belle en chair et en os, j’étais sous le charme Kwign aussi à voir la bosse dans son pantalon et au grand sourire jusqu’aux oreilles de Pascal, je pense ne pas me tromper si j’affirme que la réciproque était vraie. Pascale Blonde châtain aux yeux verts, 1m75, elle était pétillante et solaire. Pascal quant à lui était un peu plus petit qu’elle, crâne rasé, des yeux qui laissaient transparaître une douceur et une gentillesse infinie. Nous prîmes place dans le salon autour d’un petit café. Pascale ne me quittait pas des yeux, ni de son sourire plein de promesses. Malgré son apparence très féminine, elle s’exprimait de manière très directe, ce qui n’était pas pour me déplaire, étant moi aussi très cash. Ses anecdotes de shooting nous apprenaient qu’elle n’en avait que faire des conventions, ce qui me plut également. En cette fin septembre, la nuit tombait désormais très tôt, les garçons proposèrent de démarrer le shooting rapidement pour profiter un maximum de la lumière naturelle. Il était convenu de le faire dans le salon, le style assez plaisant, nous permettant aussi de faire des posent sur la terrasse éclairer par les rayons du soleil. Pascale m’emmène dans une chambre pour nous préparer. Elle me montre ses tenues et j’en fit de même en lui montrant celles que j’ai apportées. Après les avoir examinées, je lui indiquai celles pour lesquelles j’avais des tenues similaires, histoire d’avoir un rendu homogène à l’image. Approuvant mon idée, nous optons pour un string et des bas nylons avec de la dentelle noire, des escarpins assortis. Rien en haut : nous restons topless nos poitrines avantageuses réciproquement seraient à elle seule là pour nous mettre en valeur. Nous mettons de l’ordre dans nos cheveux, un peu plus de noir sur nos yeux. Nous nous détaillons l’une l’autre pour vérifier que tout est parfait. Nous rejoignons les garçons qui ont préparé le studio improvisé et préparé réciproquement leurs appareils de quoi nous mitrailler sous tous les angles. A notre arrivée, leurs yeux s’écarquillent et ils en ont le souffle coupé. Nos tenues font leur petit effet. Pascale et moi nous sourions et nous jetons un clin d’œil plein de complicité. Après un petit moment de flottement, nous nous installons de part et d’autre du sofa suivant leurs directives. Nous nous appuyons sur la tête de ce dernier, et nous cambrons pour les premiers clichés. Ils shootent en même temps, et ça n’est pas toujours évident de regarder celui qui va déclencher l’appareil. Je me sens un peu gauche, timide et réservée face à Pascale qui me paraît d’un naturel déconcertant. Kwign le perçoit, je sens qu’il m’observe et qu’il souhaite me faire sortir de ma réserve. Il tente quelques blagues pour me détendre. Elle et moi nous rapprochons progressivement sur le sofa, symétriquement, au rythme des clics, nous nous faisons face, nos corps sont plus proches que jamais, et souriant l’une à l’autre, nous nous dévorons des yeux. Soudain, elle demande la permission aux photographes de m’embrasser. Pascal en premier lui répond un : « T’es sûr ? », en regardant Kwign. Nos visages et nos lèvres se rapprochent, nous nous embrassons et nous nous embrasons. Ses lèvres sont d’une douceur infinie, ses mains sur ma nuque d’une délicatesse… Nos langues se cherchent, timidement d’abord, se trouvent, s’apprivoisent puis s’enroulent dans une danse intérieure lascive dont nous seules partageons le secret. Elle gémit doucement, signe de son abandon et du plaisir qu’elle semble prendre. J’aime l’entendre, ses soupirs sont une invitation alors je la caresse. Mes mains glissent de sa nuque à ses épaules, effleurent ses gros seins. Mes paumes enveloppent ses beaux seins, doux et plus rebondis que les miens. Mes doigts agacent ses tétons érigés et mes lèvres quittent bientôt les siennes pour venir lécher et mordiller ses mamelons.
Je les tète, les suçote, elle gémit de plus belle, elle semble aimer. Je glisse ma main dans son beau string en dentelle, et la dirige vers sa fente que je sens légèrement imberbe, chaude et humide. Mon majeur se faufile entre ses lèvres charnues et pleines de désirs, et pénètre dans son antre liquéfié. Je le retire, poisseux, témoin de son émoi. Je l’introduis à nouveau, toujours encouragée par ses soupirs, et commence à la branler doucement, puis de plus en plus rapidement. Très vite, le frottement de la dentelle me gêne, et je fais glisser le tissu le long de ses jambes. Ses bas prennent part à la procession. Elle en profite pour me relever et pour reprendre possession de mes lèvres, plus assoiffée que jamais. Elle m’embrasse fougueusement pendant que ses mains pressent fermement mon dos et mes fesses pour coller son corps contre le mien. Nos poitrines s’écrasent l’une contre l’autre, nos ventres se touchent, nos sens s’enflamment. Elle cesse de m’embrasser, plante son regard dans le mien, toujours son grand sourire aux lèvres et me dit :
Est-ce que tu veux bien me laisser faire ?
- Oui bien sûr.
La suite bientôt 💋 Amann
La suite dans mon livre 💋 Amann
